dimanche 25 décembre 2011

Noël


Chers élèves,

Je vous souhaite un Joyeux Noël à tous et je vous invite à écouter deux chants de Noël: Le petit Papa Noël et un chant traditionnel Mon beau sapin.





C'est la belle nuit de Noël
La neige étend son manteau blanc
Et les yeux levés vers le ciel
A genoux les petits enfants
Avant de fermer les paupières
Font une dernière prière

Petit Papa Noël
Quand tu descendras du ciel
Avec tes jouets par milliers
N'oublie pas mon petit soulier
Mais avant de partir,
Il faudra bien te couvrir
Dehors, tu vas avoir si froid
C'est un peu à cause de moi.

Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si tu m'as apporté
Tous les beaux joujoux
Que je vois en rêve
Et que je t'ai commandés
Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer
Avec ta hotte sur le dos
Au son des cloches des églises
Ta distribution de surprises

Auteur : Raymond Vincy (1946)
Compositeur : Henri



Paroles:
Mon beau sapin,
Roi des forêts
Que j'aime ta verdure.
Quand par l'hiver
Bois et guérêts
Sont dépouillés
De leurs attraits
Mon beau sapin,
Roi des forêts
Tu gardes ta parure.

Toi que Noël
Planta chez nous
Au saint anniversaire
Joli sapin,
Comme ils sont doux
Et tes bonbons
Et tes joujoux
Toi que Noël
Planta chez nous
Par les mains de ma mère

Mon beau sapin,
Tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage
De la foi qui ne ment jamais
De la constance et de la paix

Mon beau sapin,
Tes verts sommets
M'offrent la douce image.

dimanche 18 décembre 2011

Vos commentaires(2)!


Gras

N'ayez donc pas peur de faire vos commentaires en français. Ecrivez juste un petit mot : j'ai aimé un peu, beaucoup, pas du tout...
Merci!

vendredi 16 décembre 2011

Vos commentaires!



Chers élèves,

Vous avez été nombreux à assister aux séances de cinéma à l'école et je vous en remercie.Certains d'entre vous, prenant leur courage à deux mains, ont même vu plusieurs films!

Je vous invite donc à apporter vos commentaires sur ce blog:"quel film avez-vous aimé?", "allez-vous lire les romans dont les films étaient des adaptations?","c'est une activité intéressante , pas du tout, difficile à suivre..."

Moi particulièrement, j'ai beaucoup aimé Le Petit Nicolas, le monde des adultes vu à travers les yeux d'un enfant m'a bien fait rire.Et puis, cette salle de classe avec les pupitres,l'encrier, la plume,la carte de géographie, la maîtresse très raide,la cour de l'école, la récré,les élèves en rang,le surveillant... c'est plein de souvenirs de mon enfance qui ont surgi d'un coup!

Merci à vous de faire vos commentaires!

dimanche 11 décembre 2011

Le Prix Nobel de la Paix

Du jamais vu à Oslo: un Prix Nobel de la Paix remis à trois femmes du monde arabe pour leur combat, pour leur lutte des droits des femmes, sur un fond de musique africaine: Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Libéria, Leymah Gbowee, militante libérienne pour les droits de la femme et la Yéménite Tawakkol Karman, journaliste et "figure de proue du printemps arabe"

samedi 10 décembre 2011

Les cours


Chers élèves,

Un méchant rhume m'a retenue à la maison pratiquement toute la semaine et j'ai dû être alitée plusieurs jours. C'est pourquoi, j'ai manqué mercredi et j'en suis vraiment navrée. Les cours reprendront le lundi 12 décembre. Cette semaine, nous aurons le plaisir d'aller "au cinéma", nous en reparlerons en cours et sur ce blog.

J'espère que vous aurez bien profité de cette semaine et des jours de congé.
A bientôt!

vendredi 2 décembre 2011

La Guerre des boutons


"La Guerre des boutons, roman de ma douzième année"(titre complet), publié en 1912, est un roman de Louis Pergaud, romancier et poète français mort en 1915.
Louis Pergaud reçut le prix Goncourt en 1910 pour son recueil de nouvelles "De Goupil à Margot". Instituteur comme son père, il sera muté dans plusieurs écoles de province. Son anticléricalisme (1905, c'est l'année de la séparation de l'Eglise et de l'Etat) lui vaudra bien des ennuis. Il s' inspirera de son expérience pour écrire ses romans notamment pour son personnage du maître d'école dans La Guerre des boutons .
La Guerre des boutons raconte la guerre que se livrent des bandes d'enfants de deux villages rivaux ,Longeverne et Velrans, à chaque rentrée des classes. D'un côté, il y a Lebrac le chef de la bande de Longeverne et de l'autre l'Aztec pour la bande de Velrans, tous les deux menant leur troupe avec autorité. Et puis il y a aussi Petit Gibus... Les filles, bien sûr, ne participent pas à cette guerre. Malgré le côté pittoresque de ces batailles, il ne faut pas oublier la violence entre enfants," on se cogne pour de vrai": frondes, cailloux, bâtons et humilliation, ainsi que la violence à la maison. Le butin de cette guerre donne le titre au livre. En effet,les vainqueurs dépouillent les vaincus de leurs boutons, lacets, etc. Ces derniers rentrent à la maison tout débraillés et ont droit à une bonne punition ou à une correction... Il n'en reste pas moins que c'est un roman drôle, poignant, qui nous parle d'amitié, de solidarité, de liberté et du passage de l'enfance à l'âge adulte.
Ce roman a été adapté plusieurs fois au cinéma. Tout d'abord en 1937 "La Guerre des gosses" et ensuite en 1962. C'est cette adaptation d'Yves Robert qui est restée dans la mémoire des Français


Le Petit Gibus, avec sa bonne petite bouille, est le personnage le plus attachant, l'élément comique, rendu célèbre par sa réplique: "Si j'aurais su, j'aurais pas venu". En fait, cette répartie n'apparaît que dans le film et non dans le roman. De là, l'impossibilité de la faire dire aux deux nouveaux petits personnages des dernières adaptations sorties en 2011:
"La Guerre des boutons" , de Yann Samuell, avec Mathilde Seignier et Eric Elmosnino et "La Nouvelle Guerre des boutons" de Christophe Barratier ( actuellement à l'affiche à Zaragoza), avec Laetitia Casta, Gérard Jugnot, Kad Merad et Guillaume Canet.


Pour certains, le film de Yann Samuell se rapproche davantage du film d'Yves Robert et est fidèle sur de nombreux points au roman de Louis Pergaud, s'adressant ainsi à un jeune public; pour d'autres, le film de Christophe Barratier vise un public plus large et transpose l'action beaucoup plus romanesque sous l'Occupation, mettant en parallèle les deux conflits, la guerre des enfants et la Seconde Guerre mondiale. Au nom de la mixité, les deux réalisateurs introduisent des filles dans l'action, s'inspirant du personnage de Marie dans le roman : pour Yann Samuell "une gonzesse dans la bande" et pour Barratier, la petite juive réfugiée dans le village.


Et le public, qu'en pense-t-il?