La Mauvaise réputation
Nous allons écouter une chanson de Georges Brassens ,auteur-compositeur- interprète français,que nous étudierons ces jours-ci en cours de 1ºNA:
Georges Brassens est un magnifique poète, capable de tout mettre en musique: ses amis Les Copains d'abord, tous ceux qui l'ont aidé, La chanson de l'Auvergnat, La cane de Jeanne, ses amours, J'ai rendez-vous avec vous, son grand amour La Non-demande en mariage, ses idées libertaires, rejetant toute doctrine... Mais lui se considérait avant tout un chansonnier . Tout jeune,dans sa ville natale de Sète, il découvre la poésie et lit Verlaine, Baudelaire Victor Hugo et surtout François Villon. Mais, c'est surtout à Paris, qu'il va étudier la versification et les rimes ,passant toutes ses journées, seul, à la bibliothèque , tout en acquérant une profonde culture littéraire.Son image est des plus simples une guitare, sa moustache, sa pipe, un air bourru et pourtant il se dégage de ses chansons une profonde maitrisse de la métrique classique, des tournures anciennes, des expressions populaires.
Il mettra aussi en musique de nombreux poètes Loius Aragon, Paul Fort, Antoine Pol et François Villon qui l'a énormément marqué.
mardi 27 novembre 2012
lundi 26 novembre 2012
Une belle chanson
Ah, ces passantes!!!
Nous avons parlé du poème de Baudelaire "A une passante"cette femme rencontrée par hasard et qu'on aurait pu aimée . Je vous invite à écouter sur le même sujet " Les passantes" un poème d'Antoine Pol, mis en musique et interprété par Georges Brassens et qui en a fait une de ses plus belles chansons:
Les Passantes (paroles)
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
Antoine Pol
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main
A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
Antoine Pol
Nous reparlerons de Georges Brassens sur ce blog.
dimanche 25 novembre 2012
Une nouvelle et un poème
"A une passante"
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!
Nous avons lu ces jours-ci , à la maison, une nouvelle du premier livre d'Anna Gavalda "Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part"(1999). Ce recueil de douze nouvelles s'inspirant de la vie quotidenne, de la vie urbaine est d'une grande simplicité et présente des situations touchantes ou amusantes, tragiques ou parfois grotesques.
Dans cette première nouvelle "Petites pratiques germanopratines" ,Anna Gavalda nous raconte l'histoire d'une femme se faisant aborder dans la rue par un passant qui l'invitera à dìner. L'héroïne se récite à elle-même un vers "Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!" et de ce fait nous parle d'un poème de Charles Baudelaire ( 1821-1867) "A une passante", où le poète évoque le souvenir d'une rencontre dans un paysage urbain,de cette femme qu'il l'a croisée dans la rue et qu'il aurait peut-être aimée, de la recherche d'un amour et de l'échec d'une relation:
A une passante
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet;
Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair... puis la nuit! — Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité?
Ailleurs, bien loin d'ici! trop tard! jamais peut-être!
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!
Les Fleurs du mal, 1857
Le sonnet appartient à ce merveilleux recueil de poèmes de Charles Baudelaire"Les Fleurs du mal" et fait partie des "Tableaux parisiens" liés à la vie de la ville qui , par ailleurs, a profondément inspiré le poète.
Je vous avouerai soi-dit en passant que c'est l'un de mes poèmes préféré...
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!
Nous avons lu ces jours-ci , à la maison, une nouvelle du premier livre d'Anna Gavalda "Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part"(1999). Ce recueil de douze nouvelles s'inspirant de la vie quotidenne, de la vie urbaine est d'une grande simplicité et présente des situations touchantes ou amusantes, tragiques ou parfois grotesques.
Dans cette première nouvelle "Petites pratiques germanopratines" ,Anna Gavalda nous raconte l'histoire d'une femme se faisant aborder dans la rue par un passant qui l'invitera à dìner. L'héroïne se récite à elle-même un vers "Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!" et de ce fait nous parle d'un poème de Charles Baudelaire ( 1821-1867) "A une passante", où le poète évoque le souvenir d'une rencontre dans un paysage urbain,de cette femme qu'il l'a croisée dans la rue et qu'il aurait peut-être aimée, de la recherche d'un amour et de l'échec d'une relation:
A une passante
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet;
Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Un éclair... puis la nuit! — Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité?
Ailleurs, bien loin d'ici! trop tard! jamais peut-être!
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais!
Les Fleurs du mal, 1857
Le sonnet appartient à ce merveilleux recueil de poèmes de Charles Baudelaire"Les Fleurs du mal" et fait partie des "Tableaux parisiens" liés à la vie de la ville qui , par ailleurs, a profondément inspiré le poète.
Je vous avouerai soi-dit en passant que c'est l'un de mes poèmes préféré...
samedi 24 novembre 2012
Films à l'affiche
Cinéma Aragonia
Version originale sous-titrée en espagnol : 16h30 et 18h30.
Dans la maison est un film de François Ozon avec Fabrice Luchini, sorti en France le 10 octobre 2012. Ce film a remporté La Concha de Oro du Meilleur film au dernier Festival international de Cinéma de Saint-Sébastien . Pour ce long-métrage, le réalisateur a adapté librement la pièce de théâtre du dramaturge espagnol Juan Mayorga "Le garçon du dernier rang" (El chico de la última fila). Une histoire troublante qui brouille les pistes entre fiction et réalité ...
Ana Beatriz, 1ºNA, nous a vivement recommandé de voir ce film. Nous vous invitons à regarder la bande annonce et, bien entendu, à voir le film en salle:
mardi 20 novembre 2012
Une chanson
Les Ogres de Barback
Quatre frères et soeurs forment ce groupe de musique, quatre excellents musiciens qui jouent de l'accordéon, du violoncelle, du piano, du trombone à coulisse , du tuba. Avec leur musique, ils essaient de renouer avec la Chanson française tout en y ajoutant de nouveaux airs, (Mano Negra...), des rythmes de fanfare et toujours sur fond d'accordéon. Nous allons écouter" Et oui" dont nous parlerons ces jours-ci en cours,( Parcours A2, page 30):
Ah, les belles photos!
Nous continuons à voir de belles photos de Paris. Cette fois nous remercions Luis de 2º NB de nous envoyer cette belle photo du Jardin du Luxembourg:
C'est un jardin privé ouvert au public. En effet, il appartient au Sénat et le palais que l'on voit au fond de la photo,le "Palais du Luxembourg" en est le siège .
Situé au coeur du quartier Latin, ce jardin est l'une des flâneries préférées des Parisiens.
Merci encore Luis!
N'hésitez donc pas à faire comme Carmen et Luis: envoyez-moi vos photos des endroits que vous avez visités en France.
C'est un jardin privé ouvert au public. En effet, il appartient au Sénat et le palais que l'on voit au fond de la photo,le "Palais du Luxembourg" en est le siège .
Situé au coeur du quartier Latin, ce jardin est l'une des flâneries préférées des Parisiens.
Merci encore Luis!
N'hésitez donc pas à faire comme Carmen et Luis: envoyez-moi vos photos des endroits que vous avez visités en France.
lundi 19 novembre 2012
Hiripsémé (2)
Hiripsémé, auteur, compositeur et chanteuse française
Hiripsimé est d'origine arménienne , elle est née au Liban et elle a grandi en France. Elle s'est lancée d'abord dans la mode avant de se consacrer entièrement à la musique. D'une voix de velours et sur une musique originale dont les accords tissent des liens entre l'Orient et l'Occident, elle nous offre des chansons ,marquées par son enfance et ses relations amoureuses,des petites histoires intimistes, en forme de confidence, qui nous invitent à nous y reconnaître...
Dans le livre Parcours A2, à la page 26 on parle d'une de ses chansons: "Tu t'souviens de moi". Ce titre est extrait de son album "Les Portes" de 2007.
Je vous invite à écouter une autre chanson qui fait partie du même album et qui me semble très jolie:"A quoi tu penses".(attention! Il ya des fautes sur la vidéo.)
Paroles
Si tu m'disais à quoi tu penses
Si tu m'disais un peu c'que tu veux
De quel côté l'amour se penche
Lorsque les vents te soufflent dans les yeux
Dis moi ou s'arrête et ou commence
L'envie de fuir quand vient l'envie d'être deux
Si tu m'disais un peu à quoi tu penses
On pourrait apprendre à s'apprendre à vivre mieux
Parle-moi de tes silences
Dis moi c'que d'viennent les mots lorsqu'ils ont faim
Raconte-moi comment un coeur en transhumance
S'y prend pour ne jamais se tromper en chemin
Dis -moi ou s'arrête et ou commence
L'envie d'aimer quand on y comprend plus rien
Si tu m'disais de quel côté l'amour se penche
On pourrait apprendre à s'apprendre à se faire du bien
Qu'en est-il de nos mémoires étanches
Lorsque la peur s'éloigne de nous peu à peu
Lorsque la vie nous met ses habits du dimanche
Pour nous rendre un peu plus fou un peu moins vieux
Dis -moi ou s'arrête et ou commence
L'envie de faire la fête quand il pleut
Lorsque le soleil s'entête à prendre sa revanche
En nous allumant dans la tête un grand feu
Si on se parlait un peu de nos croyances
De tout ce qu'l'on cherche à détruire
Par peur de se découvrir
De ces rêves que l'on croit trop beaux
Et des biens faits de l'existence
Que l'on soit comme des cadeaux
Quand on veut bien les ouvrir
Si l'on pouvait s'apprendre à redresser la balance
Quand on s'alourdit le coeur du poids de nos violence
Oublier nos rancunes comme dans des jeux d'enfants
Les brûler une à une et se sentir plus vivant
Dis -moi ou s'arrête et ou commence
L'envie de fuir quand vient l'envie d'être heureux
Si tu m'disais de quel côté l'amour se penche
On pourrait apprendre à s'apprendre à faire c'qu'on peut
Si tu m'disais à quoi tu penses
Si tu m'disais un peu ce que tu veux
Si tu m'disais à quoi tu penses
Si tu m'disais un peu ce que tu veux
lundi 12 novembre 2012
Une belle photo de Paris
Carmen de 2º NB nous a envoyé une très belle photo de la Tour Eiffel sous la pluie et dans un ciel tout gris si caractéristique de Paris. Je vous invite à la regarder et à rêver...
Merci Carmen et continuez à faire de belles photos!
Merci Carmen et continuez à faire de belles photos!
dimanche 11 novembre 2012
L'Armistice du 11 novembre
"La der des der"
Le 11 novembre 1918, à 11 heures, le silence se fit dans les tranchées, dans toute la France, les cloches sonnèrent à la volée: l'armistice venait d'être signé ce matin-là entre le Maréchal Foch ,les Alliés et les plénipotentiaires allemands , mettant fin ainsi à la Grande Guerre. Le "Cessez le feu" sonnait sur tout le front au grand émoi des courageux Poilus (surnom donné aux soldats français de la Première Guerre Mondiale) et de tous les combattants, dont les valeurs morales et spirituelles commençaient à s'ébranler durement .Tous, plein d'espoir ,voulaient croire que cette guerre qui s'achevait était la dernière de l'Histoire :"la der des der". Cette guerre effroyable , comme toute les guerres d'ailleurs,avait secoué l'Europe pendant quatre années, laissant derrière elle huit millions de morts et six millions de mutilés.
L'armistice fut signé dans un wagon, aménagé en bureau , dans la forêt de Compiègne. Hitler exigera, comme revanche, de signer l'armistice du 22 juin 1940 dans ce wagon symbolique.
Le "Poppy day", le jour du coquelicot (les fleurs qui poussaient aux abords des tranchées), commémore le 11 novembre en Grande-Bretagne et dans les pays de la Commonwealth.
Je vous invite à écouter un poème de Guillaume Appolinaire ,dont nous avons déjà parlé sur ce blog, qu'il écrivit du front en 1915 .Blessé par un éclat d'obus, il fut évacué à Paris.Affaibli par sa blessure, il mourut le 9 novembre 1918...Le poème est interprété par Jean Ferrat:
"Si je mourais là-bas..."
Si je mourais là-bas sur le front de l'armée
Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée
Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt
Un obus éclatant sur le front de l'armée
Un bel obus semblable aux mimosas en fleur
Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace
Couvrirait de mon sang le monde tout entier
La mer les monts les vals et l'étoile qui passe
Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace
Comme font les fruits d'or autour de Baratier1
Souvenir oublié vivant dans toutes choses
Je rougirais le bout de tes jolis seins roses
Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants
Tu ne vieillirais point toutes ces belles choses
Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants
Le fatal giclement de mon sang sur le monde
Donnerait au soleil plus de vive clarté
Aux fleurs plus de couleur plus de vitesse à l'onde
Un amour inouï descendrait sur le monde
L'amant serait plus fort dans ton corps écarté
Lou si je meurs là-bas souvenir qu'on oublie
- Souviens-t'en quelquefois aux instants de folie
De jeunesse et d'amour et d'éclatante ardeur -
Mon sang c'est la fontaine ardente du bonheur
Et sois la plus heureuse étant la plus jolie
Ô mon unique amour et ma grande folie
jeudi 8 novembre 2012
Les grands prix littéraires d'automne
Les plus prestigieux prix littéraires français sont décernés entre la fin octobre et la mi-novembre.
Conformément donc à la tradition , c'est l'Académie française qui ouvre la saison des récompenses littéraires , les Prix Goncourt et Renaudot sont attribués le même jour et dans le même restaurant, chez Drouant, le jury du Prix Fémina est exclusivement féminin , le Prix Médicis couronne un auteur débutant...
Jérôme Ferrari a reçu mercredi 7 novembre le Prix Goncourt pour "Le sermon sur la chute de Rome", (Actes Sud):
Le Prix Renaudot revient cette année à la Rwandaise Scholastique Mukasonga pour "Notre-Dame du Nil".
Nous vous invitons à lire l'article de L'Express pour avoir plus d'informations sur Scholastique Mukasonga, cliquez ici .
Le Grand Prix du Roman de l'Académie française a été remis le 25 octobre au jeune auteur suisse Joël Dicker pour "La vérité sur l'Affaire Harry Quebert":
Emmanuelle Pireyre a obtenu Le Prix Médicis 2012 pour "Féerie générale":
Et enfin Patrick Deville a décroché le Prix Fémina pour " Peste et choléra".
Ecoutons donc l'auteur Patrick Deville présenté son roman:
mercredi 7 novembre 2012
Un film bouleversant (Parcours A2)
Je vous invite à voir la bande annonce du film dont Naïma parle dans son message à Fanny, Parcours A2, page 24: "La question humaine".
Ce film est une adaptation d'un roman "La Question humaine" (2000)de l'écrivain belge François Emmanuel . Il a été realisé par Nicolas Klotz et est sorti en France en 2007.
La bande sonore du film est une musique originale de Syd Matters.
Ce film est une adaptation d'un roman "La Question humaine" (2000)de l'écrivain belge François Emmanuel . Il a été realisé par Nicolas Klotz et est sorti en France en 2007.
La bande sonore du film est une musique originale de Syd Matters.
mardi 6 novembre 2012
Une petite lecture de Parcours A 2
Irène Cohen-Janca est un écrivain français. Elle est née à Tunis (Tunisie) en 1954 et y a vécu toute son enfance jusqu'en 1961. Actuellement, elle réside en Essonne où elle exerce son métier de conservateur de bibliothèque. Elle a publié quatorze romans aux éditions Rouergue (Jeunesse).
Ces jours-ci, nous avons lu un extrait de son roman "Fashion victim" (Parcours A2, page 20). Je vous invite à lire le résumé du roman et à répondre à la question du livre: exercice 1, page 21.
Nous pouvons lire l'avis de Ricochet :
" C’est la rentrée des classes. Voici Vincent, 17 ans, ni beau, ni provocant. Il vient de passer des vacances épouvantables avec sa famille. Il ne sait pas quoi faire de son corps, peu habillé, des bubons partout sur le visage. Ses amis, à l’école, Fred et Alexandre semblent de même. Mais dans la famille de Vincent, l’excentrique c’est la tante Pauline. Elle travaille dans la mode, elle porte des talons hauts perchés, elle est sophistiquée et ne mâche pas ses mots. Tout le contraire de la mère de Vincent. Quand elle débarque dans cette famille rangée, la tante Pauline est la seule à prédire que Vincent pourrait devenir un beau garçon. Elle l’emmène faire les magasins. Habillé branché, Vincent découvre une autre image de lui, une fahion-victim. Mais cette émancipation est lourde à obtenir et Vincent devra aussi découvrir un secret de famille qui lie sa mère et sa sœur (la mort de leur mère). Un récit bien mené sur l’adolescence et ses petits moments de vie qui font aussi que, tout d’un coup, on grandit un peu. "
samedi 3 novembre 2012
Balade en Finistère
Je vous invite à faire une petite balade en Finistère tout en écoutant ses merveilleuses légendes...
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